Il ne faut jurer de rien

Un long-métrage d'Eric Civanyan,
avec Mélanie Doutey, Gérard Jugnot, Jean Dujardin

Vous pouvez lire en continu les musiques contenues dans ce player,
tout en lisant ce que j'ai pu en dire plus bas dans la page.

 

Vous pouvez aussi écouter les morceaux un à un à la suite de chaque texte.

 

C'est vous qui voyez !

Synopsis :
 
infjdr_afficheParis, juillet 1830. Valentin se perd dans l'alcool, le jeu, les femmes. Il ne croit pas en la vie et surtout pas en l'amour. Son oncle Van Buck ne croit qu'aux vertus de l'argent et du commerce.
Irrité par les extravagances de son neveu, Van Buck veut lui faire épouser Cécile, la jeune fille de la baronne de Mantes...

 
Grâce à la confiance qu'Eric Civanyan et Manuel Munz (le producteur) m'ont accordé, j'ai eu le privilège de composer cette B.O.

1 - Générique début

Un des thèmes du film, souvent lié à l'argent qui sort continuellement des poches de Van Buck
 

2 - Place des Vosges

Le premier thème majeur du film, présenté ici en une succession de 3 ambiances
 

3 - La cascade

Une calèche roulant à toute allure, faisant voler les feuilles mortes d'une route de forêt. Au bout de la route, un tournant... Et après, la grille d'un château, et une belle jeune femme pensive...
 

 

La musique a été enregistrée à Bratislava, capitale de la Slovaquie.
60 musiciens, et un orchestre dit "mozartien", moins les trompettes, dont je ne voulais pas...

4 - Thème de Valentin

Le deuxième thème majeur du film, celui du romantisme. Le début est de la musique de chambre, la suite est orchestrale ; il y a d'ailleurs, dans le film, 1/3 de musique de chambre
 

5 - Le galop

C'est un film qui finit bien, lors d'un bal où toutes les belles robes de ces dames (costumes d'Anne Brault) virevoltent au son du Galop. La très belle photo d'Eduardo Serra complète l'ensemble
 

 

Les orchestrations ont été réalisées par Jean-Philippe Bec, Laurent Juillet, et moi. Laurent a aussi été le directeur de production de la musique.
L'ingénieur du son Gerry O'Riordan et le chef d'orchestre Alan Wilson se sont joints à l'équipe, forcément étoffée vue l'ampleur du projet

6 - Générique de fin

Une rhapsodie au rythme de Sicilienne, un morceau "majestueux et automnal" - indication que j'ai porté sur la partition -, pour doucement nous faire atterrir dans notre époque après 1h40 d'enchantement...